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Les balançoires, comme les canards, restent sauvages est une prise de parole publique qui marque la fin du cycle de recherche de Valentin Godard, mené dans le cadre d'un DSRA au sein de l’Unité de recherche numérique Art et Design Ensba Lyon / ESAD Saint-Étienne coordonnée par David-Olivier Lartigaud.

Membres du jury

• Hélène Giannecchini : écrivaine et critique ;
• Benny Nemer, artiste : chroniqueur et chercheur ;
• Emmanuelle Pireyre : écrivaine entre roman et poésie.

Présentation

Cette séance – en ligne, sur Twitch – se déroule sous forme d’une méta randonnée entre plusieurs univers et de multiples corps, et est suivie d’un moment d’échange autour d’une collection d’images et de souvenirs. Il y est question de dragons et de dauphins, de signes secrets et de traditions provençales, d’un homme chien numérisé et de son petit ami hacker.

Au préalable, une série d’éditions a été envoyée au jury. Elles sont consultables à l’Ensba (bibliothèque, labo nrv, pôle édition) et peuvent être téléchargées de manière numérique à cette adresse : http://mauricegodard.fr/editions/.

À propos de Valentin Godard

Né en 1993, puis en 2003, Valentin Godard passe par le conservatoire de théâtre, Ivalice et Rivebois avant d’arriver à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon. Ses oreilles pointues ont un temps suffi à repousser ses ennemis jusqu’à ce qu’affublé d’une tête d’oiseau, il se mette à parcourir le monde alors que tout était déjà fini. Artiste-chercheur au sein de L’UR numérique à l’Ensba Lyon et Trinity Bellucci lorsqu’elle fait partie du collectif les enfants de Diane, le corps de Valentin accueille en ce moment des langues étrangères et sent, sous la douche, le chien mouillé.

Visuel Les balançoires, comme les canards, restent sauvages © Ninon Goutelle pour Valentin Godard